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ICube Laboratory   >   Events : Thèse : Modélisation de l'effondrement des sols induit par l'infiltration d'eau : implications pour la stabilité des fondations

Thèse : Modélisation de l'effondrement des sols induit par l'infiltration d'eau : implications pour la stabilité des fondations

March 21, 2025
14:00
IUT Robert Schuman d'Illkirch - amphithéâtre Leonardo

Soutenance de thèse : Marieh FATAHIZADEH

Date & Heure : La soutenance aura lieu le vendredi 21 mars 2025 à 14h00 en Amphithéâtre Leonardo à l’IUT Robert Schuman d'Illkirch, au 72 Route du Rhin, 67400 Illkirch-Graffenstaden.

Titre : Modélisation de l'effondrement des sols induit par l'infiltration d'eau : implications pour la stabilité des fondations

Composition du jury :

  • Rapporteur : Mme HATTAB Mahdia – Professeur, Université de Lorraine
  • Rapporteur : M. FRANCOIS Bertrand – Professor, Université de Liège
  • Examinateur : Mme MASROURI Farimah – Professeur, Université de Lorraine
  • Examinateur : M. CUI Yu-Jun – Professeur, École des Ponts ParisTech

Directeurs de thèse :

  • M. MOSÉ Robert – Professeur, Université de Strasbourg
  • M. NOWAMOOZ Hossein – Professeur, INSA de Rennes

Résumé :
Cette thèse étudie les mécanismes d’effondrement induit par l’humidification et ses implications pour la stabilité des fondations en utilisant des approches analytiques et numériques. Un modèle analytique a été développé pour prédire l’effondrement en fonction des propriétés géotechniques. Un modèle numérique a été établi en introduisant un modèle hydromécanique et en examinant plusieurs scénarios, notamment l’infiltration (unilatérale et bilatérale), l’évaporation préalable à l’infiltration et la montée de la nappe phréatique.Les corrélations montrent que le degré initial de saturation est le principal facteur influençant le potentiel d’effondrement. Le modèle analytique proposé présente des capacités généralement améliorées par rapport aux modèles existants. Les simulations numériques révèlent que la montée de la nappe phréatique et l’infiltration réduisent la succion du sol dans la couche non saturée, entraînant un tassement supplémentaire. Une distinction clé est observée entre l’infiltration bilatérale et l’infiltration unilatérale : la première provoque un tassement équilibré, tandis que la seconde entraîne un mouillage localisé et un tassement différentiel. Les résultats soulignent le potentiel du modèle hydromécanique pour évaluer la stabilité des fondations.

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