L’implication de micropolluants dans le développement des maladies neurodégénératives est de plus en plus envisagée. Grâce à une étude métabolomique, des scientifiques au laboratoire des sciences de l'ingénieur, de l'informatique et de l'imagerie1, à l'institut de Biologie Moléculaire des Plantes2 et des cliniciens du centre mémoire de Ressources et de Recherche3 ont mis en évidence des taux élevés de phtalate de bis(2-éthylhexyle) ou DEHP dans le liquide céphalo-rachidien de patients atteints de la maladie à corps de Lewy (MCL). Ces travaux, parus dans la revue Journal of Neurology, Neurosurgery & Psychiatry, le 7 Juillet 2020 interrogent sur le rôle éventuel, dans la pathogénèse de la MCL, de ce plastifiant omniprésent dans notre environnement.
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